• 1972 et 1985. Je demande à RADIO-FRANCE de produire des émissions concernant les musiciennes. Refus. Deux séries seront réalisées ensuite mais par une femme.
  • 1975. Je demande d'effectuer une conférence sur les musiciennes à l'UNESCO. Refus. En 1996, cet organisme patronne, dans ses locaux de Paris, deux journées « Les femmes et la création musicale » avec presque uniquement des intervenantes, la plupart n'ayant jamais effectué des recherches sur le sujet.
  • 15 juillet 1975. La Librairie Hachette refuse de publier ma thèse d'État. Ce ne sera pas la seule édition contactée.
  • 13 janvier 1981. De Marianne Lyon : « ... En effet, le CENTRE DE LA MUSIQUE CONTEMPORAINE avait coordonné le projet qui devait permettre la participation de sept musiciennes au « First National Congress on Women in Music. ». Pas un homme.
  • 9 décembre 1998. De la Chancellerie de l'ORDRE NATIONAL DU MÉRITE : « Monsieur, Il a été porté à ma connaissance que vous vous prévaudriez de la qualité de Membre de l'Ordre National du Mérite (...) J'ai l'honneur de vous demander de bien vouloir me faire parvenir une réponse dans les meilleurs délais.» Ma réponse : « (...) J'aimerais, par retour du courrier, connaître vos sources de renseignements (...) Vous voudrez bien me joindre les preuves de votre affirmation (...) ». J'attends toujours, en 2012, cette réponse. Chercher la calomniatrice ?
  • 2001. Je demande la collaboration de la MAIRIE DE PARIS pour éditer un ouvrage sur les musiciennes. Refus de deux responsables féminines. En 2006, la Mairie publie un opuscule « Le Pari des Femmes » lequel concerne les compositrices parisiennes ; l'ouvrage, est écrit par 7 femmes de l'Association Femmes et Musique (dont je faisais partie à l'époque) sous l'égide de l'Observatoire de l'Égalité Hommes/Femmes !!
  • 2002. Des professeures de la SORBONNE (où j'ai soutenu et déposé 2 thèses sur les musiciennes) organisent deux journées internationales « L'accès des femmes à l'expression musicale », à l'IRCAM-Centre Pompidou. Pas d'invitation pour moi mais le compte rendu se lamente « La carrière des compositrices a été entravée parce qu'elles étaient femmes »...
  • 8 mars 2012. Colloque au CNRS (lieu où je n'ai pu obtenir d'emploi) : « Les recherches genre. Un défi au-delà de la PARITÉ ». Une trentaine d'organisatrices haut-placées, directrices, cheffes (sic) : Anne-Marie, Agnès, Françoise, Catherine, etc. mais où sont les Léïla, Bochra, Kimia, Battuli, Shade, Li ?
  • ÉDUCATION NATIONALE. N'ayant pu obtenir de poste dans une Faculté, je suis relégué dans un collège de banlieue parisienne par l'Inspectrice Générale d'Éducation musicale.
  • En 2016, je propose par écrit au Directeur de la SACEM de lui faire un site spécifique concernant les compositrices affiliées à cet organisme. En 2018, celui-ci préfère pour cette réalisation sa Cheffe de Cabinet : Claire Giraudin, agrégée de Lettres etdiplômée de l'Institut d'Études Politiques !!! Donc, pas en raison de ses compétences artistiques...
  • Fin 2017, le nouveau Directeur de France Musique nomme pour des émissions féministes, Aliette de Laleu, jeune journaliste qui n'a étudié que la Musicologie pendant une année. Le 4 décembre dans le quotidien «20 minutes» il vante «le talent» de celle-ci. Mesdames et Messieurs, pourquoi faire des études et avoir des diplômes ?
LA PALME :

Après les honneurs de l'Inspection Académique, de la presse locale et du Conseil Général de l'Essonne pour mon action éducative, Cécile CARPENTIER-BERGER, Inspectrice Régionale - n'étant jamais venue me voir - me conseille, 5 ans avant ma retraite, de prendre des cours de pédagogie ! Condamné, sans raison, par le Rectorat de Versailles à la suite d'un rapport de Thérèse HARDOUIN, cheftaine d'établissement du Collège A. Daudet de Draveil (91), je suis gracié après ma retraite juste avant le procès que j'avais intenté pour «abus de pouvoir».